Collection Dominant Domine. La Forge De L’Enfer (1/4)

Tous à commencer le jour ou j’ai eu la malchance de perdre mon grand-père.
Nous étions très proches, car dans ma jeunesse j’allais chez lui pendant les vacances et il aimait me faire connaître son travail.
Il était maréchal-ferrant, chaudronnier et un peu ferrailleur.
C’était un esprit libre et les gens du village faisaient circuler le bruit que dans sa forge un peu esseulée, la nuit les sorcières vivant dans sa région venaient faire la sarabande des nuits entières.
Les légendes ont la vie dure et il est toujours d’actualité que la nuit le secteur de la forge soit considéré comme maléfique.
Vous ne trouverez aucun habitant du village reconnaissant avoir peur de ces légendes, mais aucun d’eux ne prendra la nuit le chemin descendant après la forêt dans le trou de l’enfer où le père du père de mon grand-père avait installé cette forge.

Mon grand-père ayant survécu à son fils et à sa bru, je suis à quarante ans le seul héritier de ce bâtiment impressionnant il est vrai, surtout dans la nuit où les chouettes hulottes et autres hiboux tournoient en envoyant à qui veut les entendre leurs hululements si caractéristiques.
Le fait d’être venu très jeunes dans cet endroit, surtout l’été où j’y passais mes vacances à manger des tartines coupées dans de grosses miches bien rondes et très odorantes que le boulanger venait livrer encore chaudes en début d’après-midi pour être sûr d’être remonté de l’endroit avant la nuit venue, font que ces superstitions me font plutôt rire.
C’est tartine c’est grand-mère qui me les préparait avant qu’elle quitte mon grand-père les coupant avec un grand couteau qu’il affûtait sur sa meule en pierre que j’étais chargé de tourner et où je devais tenir le niveau d’eau toujours plein, il était si usé que la lame était effilée comme un vrai rasoir.

J’ai toujours entendu grand-père à la veillée être conteur d’histoire toutes plus extraordinaires et horribles les unes que les autres ou il savait créer une atmosphère qui aurait glacé le sang à plus d’un.


J’en ai tellement entendu même certaines pour mes chastes oreilles ou des femmes quittaient le lit de leurs maris préalablement saoulés pour qu’ils dorment sans se rendre compte de quoi que ce soit.
Ces femmes se retrouvaient accrochées par le grand palan qui glissait dans un bruit de ferraille rouillé le long d’une poutre métallique traversant la totalité de la forge et ou des satires en rut venait les satisfaire sexuellement leurs maris étant dans l’incapacité à les honorer.
Ces femmes aimaient se faire prendre des heures entières et aimaient se faire sodomiser après qu’elles se sont fait fouetter.
De grands feux étaient allumés chaque fois qu’une orgie avait lieu devant la forge par des acolytes venus d’un autre pays pour bien garder le secret de ces folles nuits.
À l'approche de l’aube chacune retrouvait le lit conjugal et les maris se réveillaient sans s’être rendu compte qu’ils étaient cocus.
Dans ces histoires un grand nombre de ces femmes se retrouvaient enceintes faisant croire aux hommes qu’elles avaient épousés étaient les géniteurs.
Quand je repense la façon dont ma grand-mère l’écoutait buvant ses paroles, je me demande si la première accrochée à ce palan, s’était-elle et qu’elle ait été la seule dans ces années-là.

J’ai donc hérité de l’endroit, les droits de succession s’élevant à zéro car l’ensemble, forge plus terrain n’avais pour les experts désignés par le notaire aucune valeur.
Il faut dire qu’ils sont venus vers 17 heures, à la nuit tombante et qu’ils pensaient plus à s’en retourner que de compter qui une bride pour les chevaux, qui un palan ou encore des draps et des serviettes achetées dans les années 1900.

Comme je l’ai dit, j’ai quarante ans, je m’appelle Christian et je suis marié à Valérie jolie fille que j’ai épousée il y a un mois et qui est plus belle de jour en jour.
Quand tout a été achevé avec l’administration, je l’ai emmené visiter notre bien, la tête qu’elle a fait quand elle a vu l’état de délabrement de l’ensemble que nous venions d’hériter.

Coup de chance, elle était ignorante des légendes véhiculées dans ce lieu et nous avons dormi dans le lit de mes grands-parents où nous avions changé les draps.
En cadeau de mariage mon employeur m’avait envoyé par la poste une lettre recommandée me licenciant, quant à Valérie elle venait de quitter son emploi près de Lyon pour habiter chez moi près de Perpignan.
La forge est devenue pour nous notre refuge, lieu gratuit qui nous a permis de survivre jusqu’à ce que la situation s’améliore et ainsi économisé le loyer de mon appartement.

Dès les premiers jours avec Valérie nous sommes mis en tête de nettoyer tout ce capharnaüm plus pour passer le temps que dans un dessein bien précis.
C’est dans la cuisine où il y avait un fourneau à bois, bois que mon grand-père allait couper en forêt et qui était la seule source de chaleur de la partie habitable de la forge que j’ai retrouvé le grand couteau que j’avais perdu de vue des années après la mort de grand-mère ayant marqué la fin des tartines.
Grand-père avait dû continuer à s’en servir et à l’aiguiser car la lame était encore plus fine et coupante qu’une lame de rasoir que ma mémoire s’en souvenait.

Devant la grande porte laissant dépasser la poutre avec le palan nous avons entassé tout ce qui se trouvait à l’intérieur, moi m’occupant de la forge et ses dépendances, sans penser que c’était au même endroit que les satyres allumaient leur feu.
Ce rangement m’a permis de découvrir au fond une porte cachée derrière tout un fatras ou grand-père avaient accumulé de nombreuses bouteilles de grands crus Bordelais.
C’est drôle comme les souvenirs remontent à ma mémoire de petit garçon, car à chaque repas ce genre de bouteille caractéristique de la région était posé sur la table qui est toujours là même aujourd’hui avec sa toile cirée sans âge et toute craquelée.
Si les experts avaient découvert ces bouteilles, ils auraient estimé que cette pièce borgne à chaleur tempérée vu son emplacement décelait un trésor plus cher que ce que valait l’ensemble de la forge.

Valérie en faisant de mêmes côtés logement et petites dépendances à elle aussi fait des découvertes entre les draps du dessous pour bien les cacher plusieurs liasses de billets de 100 et 200 € mais aussi des billets en Francs périmés que mon grand-père avait gardés sans savoir qu’il fallait aller à la banque les échanger.
Pendant les années de ma jeunesse je l’ai souvent vu ferré un cheval contre un lapin ou une poule se faisant payer par des trocs et aussi de l’argent liquide, je suis persuadé que mes grands-parents ignoraient qu’il existait des banques.

Le troisième jour, nous avons fini et nous avions devant nous une montagne de déchets et journaux locaux mon grand-père les entassant depuis des années.
Il faisait déjà très chaud en cette fin de mois de juin et à mesure de la journée nous avions fini le travail presque nu et couvert de sueur.
Nous nous apprêtions à prendre un bain dans l'auge placée sur le côté de l’entrée que j’avais préalablement remplie d'eau puisée dans le puits situé sur l’arrière de la maison, l’eau et l’électricité étant coupée, car il fallait que je fasse le nécessaire pour les rétablir à notre nom.
J’étais allé acheter des bougies et nous vivons dans ce lieu d’une façon spartiate en attendant l’arrivée de mes premiers droits.
Nous devions vivre de ma prime de licenciement, mais le premier versement tardait à arriver.
C’est là que les choses ont évolué grâce à cet argent sans que nous ayons cherché à calculer quoi que ce soit.
Nous avons allumé le feu qui rapidement a grossi.
Nous avons couru autour du feu qui aux files des minutes devenait de plus en plus intense et chaud.
Au moment où je l’ai rattrapé et l’ai prise dans mes bras, la grande porte était ouverte, le long d’une poutre se trouvant à portée de ma main une sangle de cuir qui servait à attacher les pattes des chevaux pour éviter qu’ils ne ruent.
Je l’att et je lui ligote les mains devant elle, quelquefois les situations se créer sans que l’on ne fasse aucun calcul préalable.

Voyant le croc du palan facilement récupérable, je m’en saisi, je place ses mains tenues par la lanière avant de manœuvrer et la faire monter jusqu’à ce que ses pieds touchent à peine le sol.
Elle se défend.

• Tu es fou, que fais-tu, descends-moi immédiatement.

Je me garde bien de le faire mieux même sur un des établis se trouve un chiffon plein de graisse qui me sert pour la bâillonner.
Je la trouve belle ainsi pendue et profitant du feu les flammes atteignant une hauteur incroyable, je la pousse pour que l’ensemble avance sur la poutre à quelques mètres des flammes.
La nuit étant tombée, le corps de Valérie tout blanc balayé par la couleur des flammes me fait penser à un film ou des êtres sataniques dansaient autour d’une femme qu’ils finissaient par sacrifier à leur dieu en la jetant dans le feu purificateur de leurs croyances.
J’aime trop ma femme, avant elle j’ai beaucoup sexé de femelle avant de la trouver elle qui est proche de moi aujourd’hui dans l’esprit et les sentiments,
Depuis que je la connais intimement, j’ai toujours regretté sa touffe sur son sexe, mais elle me refuse de la raser.
Je repense au couteau que je vais chercher, je souhaite lui faire un peu peur par jeu comme au temps des soirées satanique tout étant présent, le feu, le palan et le corps à ma merci, l’ayant récupéré je le passe sur ces joues sans appuyer bien sûr, il coupe si bien.
Je réussis ce que je cherchais son regard se trouble pensant certainement qu’elle a épousé un serial er.

• Tu vois, ici je suis tout-puissant, c’est tes poils qui ont à craindre, je vais te les ôter.

C’est ce que je fais, la lame glissant sur sa peau faisant tomber à ses pieds sa pilosité qui disparaît rapidement sans que la moindre goutte de sang ne coule.
En nettoyant la forge j’ai vu le grand fouet pendu au-dessus d’un établi que mon grand-père se servait pour mater ces animaux qu’il devait ferrer, je passe devant elle et je lui passe le bout de la lanière sur son visage et sur ses seins.
Je me recule et je le fais claquer d’un coup sec, son regard se trouble de peur, mais aussi d’envie semble-t-il, j’essaye une fois de viser la pointe d’un de ses seins, tout son corps se tend et je vois la strie que la lanière fait sur sa peau bien plus tendre que le cuir des chevaux, mais sans pour autant le couper.
J’ai envie de lui enlever son bâillon, mais je sens qu’elle veut que je continue notre jeu, le mouvement qu’elle fait pour tendre sa poitrine en avant est sans équivoque, elle en veut encore, allant même jusqu’à pivoter sur le côté pour me présenter son autre sein, du moins c’est comme cela que j’interprète le mouvement qu’elle donne à son corps.
La lanière claque, elle se tend encore plus, car j’ai frappé plus fort et laisse une trace rouge avec même une perle de sang sur son passage.

• Tu en veux encore, fait oui ou non de la tête.

Le premier mouvement est un non, vite suivi par des ouis rapides et nombreux.

• Tes fesses ?...

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